Littéralement défoncé

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 9 ans
Suite à la publication de rencontre précédente, j'ai été contacté par mail par un certain Roger, qui se disait être ce fameux inconnu de la piscine municipale et qu'il souhaitait me revoir.

D'ailleurs, ce n'est pas « un souhait », c'est un « ordre » a-t-il précisé. Ce petit détail m'a fait sourire et donc craquer, je n'ai pas résisté à lui accorder un nouveau rendez-vous ! Mais j'ai précisé que je n'étais pas une pute, que mon plaisir comptait aussi. Il a dit qu'il me comprenait et il me donna rendez-vous dans un hôtel en ville. La chambre est à son nom.

Je me fis beau : épilation intégrale, boxer moulant, jean slim et chemise cintré. J'étais assez excité de pouvoir à nouveau gouter au plaisir entres hommes et avoir la chance de peut-être, moi aussi, sodomiser et me faire sucer. Direction l'hôtel en question.

Bon l'hôtel n'est pas vraiment glamour, plutôt du genre hôtel de passe. Je donne le nom de Roger. Le propriétaire me donne le numéro de chambre avec un sourire plutôt narquois me disant que mon « ami » est déjà là.

Je rentre dans la chambre, volet fermé, obscurité, odeur de renfermée avec un léger fond d'odeur sexuelle. Je rentre doucement. La chambre d'abord éclairée par le couloir, devient de plus en plus obscur au fur et à mesure que je ferme la porte.

« Clac », porte close. On distingue les ombres grâce au volet en piteuse état qui laisse passer la lumière. Ca bouge sur ma gauche, je ne bouge pas, frissonnant. Une ombre verrouille la porte, se colle à moi, son ventre contre mon dos. Je sens son souffle dans mon cou. Ses mains prennent mes poignets, les serrent. Il me dit « tu es prêt ma petite pute ? ». J'essaie de me retourner mais je suis bloqué par ses mains, « je ne suis pas une pute ! ». La réponse fut claire : il me jeta sur le lit, il mit mes mains dans le dos et me susurra un simple « ta gueule » à l'oreille.

Le style est différent, je ne reconnais pas mon inconnu de la piscine. En plus la voix indique plutôt une personne d'une trentaine d'année.

Mes mains sont vite ligotées. Je suis allongé sur le ventre sur ce drap tacheté de sperme séché. J'entends un bruit de tissu, puis un autre. Probablement un pantalon et un sous vêtement qu'on enlève. Puis une odeur, une odeur forte de sexe, de bite.

La lumière s'allume. Roger est debout à côté du lit, son jogging et son slip à mi cuisse. Son sexe pend entre ses jambes, masquant à moitié ses couilles velues et gonflées. Je remonte ma vue : effectivement « Roger » est plutôt trentenaire, rasé, l'air agressif. Rien à voir avec mon inconnu. Probablement un accroc de jeune mec qui a dû être excité par mon histoire sur internet.

Il me prend la tête et me tire au bord du lit. Je suis maintenant à plat ventre, la tête dépassant dans le vide. Il me regarde, va de l'autre côté du lit, retire sauvagement mon jean, déchire mon boxer au niveau de la raie, laissant apparaitre mes petites fesses. Il revient en face de moi, se penche pour caresser mes fesses. Enfin, plutôt les palper durement...

Son sexe frotte donc mon visage. Sa bite touche ma bouche, mon nez, je peux la sentir, sentir l'excitation, sentir sa verge durcir au fur et à mesure de sa palpation. Je ressens la même excitation qu'à la piscine, je commence à bander également. Je commence même à gémir, comme une..... oui comme une pute... Il va falloir me faire à cette idée.

J'ouvre la bouche, je ne peux atteindre son sexe qui est collé le long de mon nez et mon front. Je sors donc ma langue pour lui lécher les couilles. Il a l'air d'apprécier puisqu'il lâche mes fesses pour prendre mes cheveux en mains. Il tire ma tête vers l'arrière, il me regarde droit dans les yeux et me demande « alors tu n'es pas une pute », je le regarde, frissonne, je balbutie « je... non... je ». Il me crache alors au visage, prend sa bite en main et frotte sa salive aves son gland sur ma joue et me dis « Quoi ? J'ai entendu non ? ». Hésitant, je luis dis « oui ». Il commence à crier « Oui quoi ? » « Oui je suis une pute ».

Il rigole, place son gland le long de mes lèvres et enfonce sa bite dans ma bouche. « Non, en fait, tu n'es pas une pute. Ne crois pas que tu vas avoir de l'argent, tu es juste une salope, une trainée, une chienne ». Bizarrement, entendre ses mots me fit frémir, avoir la chair de poule. Je n'ai pas de dégout de les entendre, mais plutôt de l'excitation.

Il commence à faire des allers retours dans ma bouche. Puis il alterne avec un mouvement plus ample, plus profond, plus lent. C'est lui qui dirige, il guide. Il fixe de manière assez lubrique sa bite dure rentrée en moi. Je me laisse faire, apprécie le moment.

Après plusieurs minutes de fellation, il change a nouveau de côté. Il reste plusieurs longues secondes à regarder mon cul. Puis il m'attrape par les mollets, me tire doucement vers le bord du lit. Mes genoux sont maintenant au sol, mon ventre toujours sur le lit et mon cul bien en évidence, offert.

Là, tout s'accélère, en un mouvement rapide, il se place derrière moi. Une main écarte mes fesses, l'autre guide son sexe dans mon anus. Et il commence à me baiser. Une nouvelle fois, il alterne les mouvements rapides, forts, avec les mouvements amples, long. Mes gémissements varient en fonction de ses pénétrations, j'alterne entre les gémissements saccadés, rapides ou les longs soupirs à chaque fois que son sexe sort lentement pour mieux entrer en moi profondément. J'ai l'impression que mon anus chauffe, se déchire. Mais qu'est-ce que c'est bon !! Je sens même ses couilles taper les miennes.

Après plusieurs minutes, il me retourne sur le dos, enlève son tee-shirt et place mes jambes sur ses épaules. Il tire sèchement sur ma chemise, qui s'ouvre laissant entrevoir mon torse et mon ventre. Et il continue à me défoncer, sauvagement. Il fixe maintenant mon ventre et mon torse. Je peux aussi regarder son torse puissant et poilu, son visage de « bad doy », ses bras tenants mes jambes. Je me sens encore plus soumis, encore plus dominé.

Ses mains descendent le long des jambes, caressent le flanc de mes fesses puis caressent mon ventre. Je frissonne encore plus.

Puis des deux mains, il attrape mon sexe et le branle. Je gémis de plus belle, terriblement excité. Ses mains suivent le même rythme que ses reins, je suis à deux doigts d'exploser.

Lui aussi maintenant gémi, il doit être proche de l'extase, ses mouvements sur ma queue sont plus fébriles, plus durs. Puis, il se cambre d'un coup et s'enfonce le plus profond en moi et lâche un râle... Il vient de jouir en moi. Cela intensifie mon excitation, ma queue est encore plus tendue. De quelques gestes nonchalants, il finit de me branler... Je lâche de grosses giclées de sperme sur mon ventre, dans un profond soupir. Roger se retire, remets son slip et son jogging et me laisse sur le lit, les bras attachés dans le dos. Et sans un mot il quitte la pièce...

J'essaie de me libérer de mes liens, j'arrive à me mettre debout, mais je ne vois rien dans cette chambre vide qui puisse me permettre de couper mes liens... Après plusieurs minutes sans arriver à défaire mes liens, je me résous à appeler l'accueil de l'hôtel. Après tout dans un hôtel de passe, ils doivent avoir l'habitude... Je prends le combiné avec mes mains dans le dos et compose le 0. Je pose le combiné sur la table de nuit et me penche. « C'est la chambre 7, euh, j'aurai besoin de votre aide ». Une voix énervé me répond « Ah vous êtes encore là, ça tombe bien, votre ami est parti comme un voleur, sans payer la chambre. Bon... J'arrive »

Payer la chambre ? Je n'ai pas d'argent ni de carte sur moi...

Le gérant entre dans la chambre et me regarde. Il sourit. « Avant que je vous détache, dites moi où est votre argent, vous ne m'avez pas l'air sérieux comme gens... » « Je n'ai pas d'argent monsieur ».

Son visage d'abord se crispa... Puis il s'approche de moi et commence à tourner autour de moi. Doucement.

Il me touche du bout des doigts, mes fesses, mes cuisses, mon torse, mon visage...

« Il va falloir être gentil mon garçon alors... Très gentil... »

Je comprends que ma journée est loin d'être finie...

Me voilà donc ligoté, à la merci d'un nouveau pervers, qui compte bien se faire rembourser le prix de la chambre comme il le souhaite.

Pas vraiment le mec sexy, la cinquantaine bedonnante, mal rasé, quelques cheveux éparses sur un crâne brillant... Une chemise froissée, à l'air sale, légèrement ouverte laissant apparaître les poils du haut de sa poitrine dans lequel une chaîne en or (enfin, probablement du faux) brille.

Il ne dit rien, tourne doucement autour de moi, laissant glisser ses mains autour de mon corps nu. Ce contact m'électrise, m'excite, mais je ferme les yeux, concentré pour ne pas bander, ne pas montrer que j'aime ça, que je suis un mec facile...

Puis brusquement, il m'attrape par les cheveux, me traîne dans la douche, dans laquelle il me jette sans ménagement. Il allume le jet, m'enduit de savon et continue à me caresser partout : le torse, les cuisses, les fesses, le cou, la gorge... Je sens ses mains glisser partout le long de mon corps... Un frisson me parcourt, j'ai la chair de poule et l'érection commence... Voyant, cela, il commence à insister sur mon entrejambe, à la fois pour nettoyer le foutre de la baise précédente et pour continuer à me tendre...

De sa main gauche, il caresse mon torse, pince mes tétons et de l'autre, il caresse mes couilles, décalotte, recalotte doucement mon sexe, puis branle plus fortement ma queue , serra mon gland dans sa main puissante.

Je n'en peux maintenant plus, je suis dur comme du bois et gémis même comme une petite pute...

Le visage toujours de marbre, il continue son ?uvre, sa main droite glisse maintenant sous mes cuisses, il les soulève légèrement et enfonce un doigt dans mon anus qui se fait pénétrer facilement grâce au savon... Il en glisse donc un deuxième, puis même un troisième qui lui a déjà plus de mal à rentrer... Il f o r c e donc le passage, m'enfonçant doucement ses trois doigts dans mon petit trou... Il fait quelques allers retours rapides, les sors de mon cul et les enfonce dans ma bouche et me demandant de bien lécher ses trois doigts, un par un... Je m'exécute, suçant doucement chacun de ses doigts, remontant doucement de la base jusqu'à l'ongle, goutant le gout de mon propre cul.

Il sort ensuite sa main, la plaque sur ma gorge, me sort sèchement de la douche et me jette encore mouillé sur le lit. Cette alternance de calme et de accélère mon excitation.

Il me place sur le dos, laissant ma tête tombée d'un côté du lit... Je le vois par le dessous déboutonné son jean, l'enlever puis s'approcher de moi... Ses deux jambes entourent ma tête, ses couilles poilues pendent au dessus de son visage, son sexe est déjà dressé... Il se baisse approchant petit à petit ses couilles bien pendantes de mes lèvres, je me prépare à les prendre en bouche quand au dernier moment, il bascule légèrement vers l'avant, offrant à ma bouche son anus plutôt que ses couilles... Il écarte ses fesses des deux mains, agrandissant l'accès à son trou poilu... Je sais donc ce qu'il me reste à faire, je tire la langue et commence à lécher sa raie et autour de son cul... A chaque passage, des poils d'anus restent dans ma bouche.

Essayant au début de les cracher avec difficulté, je décide finalement de les avaler...

Puis, il m'ordonne d'aller plus loin, il déchire mes liens (comme s'il savait que je ne voulais pas m'enfuir), il prend mes mains, me demandent de les utiliser pour écarter ses fesses. Je m'exécute, il peut donc utiliser les siennes pour plaquer mon visage contre son cul... J'ai la bouche maintenant en contact avec direct son trou. J'enfonce le bout de ma langue dans son anus, l'odeur et le goût sont horribles, mais je dois m'exécuter... Je continue donc à le pénétrer avec la langue, fermant les yeux en essayant d'oublier le fumet...

Après plusieurs minutes de labeur, il s'écarta légèrement, prend sa bite en main et commence à la tapoter sur mes joues... Sa bite sent fort, une odeur qui me rappelle des chiottes publiques (ce qui continue de m'exciter...)

Il m'explique tendrement, que, comme chaque jour, il s'est branlé plusieurs fois derrière son comptoir en mattant les aller retours des prostitués et qu'il est bien content de trouver une petite salope pour lui nettoyer la queue....

Nettoyer est le mot : à peine il décalotta sa bite, qu'un épais jus, tombant directement dans ma bouche, je retiens un haut le c?ur. Il me sourit, me caresse le visage comme pour me rassurer... Et en me regardant, il enfonce doucement sa queue dans ma bouche, il m'ordonne de bien serrer les lèvres, puis la retire doucement... Et à chaque aller retour, il accélère la vitesse... Ce qui fait qu'après plusieurs secondes, il me baise sauvagement la bouche de manière accélérée... Ses couilles tapant durement mon visage... A cause du gout et de la profondeur, je suis à deux doigts de vomir... Heureusement, le supplice s'arrête au bon moment. Sa queue a l'air maintenant bien propre, seule ma salive coule de son gland, plus rien d'autre...

Il déboutonne sa chemise sans l'enlever puis il s'allonge maintenant sur moi... Il m'embrasse tendrement dans le cou, sur les épaules, sur le torse, lèche mes tétons tout en frottant délicatement son sexe contre le mien...Je sens sa tige frotter la mienne, ses couilles caresser les miennes, son ventre rond et poilu frotte le mien... Je recommence à gémir, je lui susurre à l'oreille de continuer...

Sa réponse fut clair, il me mit une bonne claque, et me demande de la fermer... Cette alternance de délicatesse et de rudeur est particulière mais vraiment agréable.

Il s'assit sur mes cuisses et me redresse. En m'attrapant derrière la tête il dirige ma bouche vers son torse poilu. Ma bouche s'attaque donc à ses tétons, les léchant, les aspirant, les mordillant. J'utilise une main pour caresser son torse poilu, l'autre se dirige vers son entrejambe et prend son sexe en main. C'est maintenant lui qui commence à gémir... je continue mon travail fier de l'entendre prendre plaisir.

Puis, subitement, il attrape mes deux poignets, me plaque contre le lit, me bloque d'une main, et utilise son autre main pour lever mes cuisses. Je suis toujours sur le dos, son visage est à deux centimètres du mien, je le regarde... J'écarte les cuisses doucement, puis entoure jambes autour de son dos, laissant libre accès à mon cul...

De son autre main, il dirige sa queue dans mon trou, et commence tout doucement à me pénétrer. Je sens sa bite entrer et sortir en moi, puis accélérer... doucement, doucement, puis plus vite, encore plus vite, toujours plus vite, hmmm que c'est bon !!! je ne gémis plus, je commence à crier ! Il continue de me baiser, il enlève sa main de mes poignets pour attraper mon cou et le serrer, j'ouvre la bouche par réflexe...

Il s'approche son visage et en profite pour me rouler une pelle... Un baiser tendre en contraste avec la rage avec laquelle il me déchire le fion. Après avoir m'embrasser, il se relève, me retourne, me met à quatre pattes et continue à me sauter en levrette... Je couine comme une salope ! Il m'attrape alors par les hanches pour me défoncer encore plus durement. J'attrape une de ses fesses d'une main, que je serre, que je griffe à cause de la douleur... Je me branle de l'autre main, une branle sauvage : j'ai tellement envie de jouir !!! Il ne me fallut que peu de temps pour exploser et gicler sur le lit.

Quelques temps après, mon hôtelier s'agrippa encore plus fort à mes cuisses, s'enfonça encore plus loin en moi et poussa un râle bestial.

Essoufflé, il reste quelques temps en moi (peut-être pour profiter de la vue sur mon cul). Puis il se retire, essuie rapidement sa queue avec les draps du lit et me dit que j'ai une minute pour dégager.

Je laisse les lambeaux de mon boxer, enfile rapidement mon pantalon et ma chemise et file la tête baisse vers la porte... Honteux d'avoir pris plaisir deux fois dans la même journée, plaisir d'avoir été considéré comme un vulgaire trou à bite...

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Ah oui, ça cela s'appelle se faire bien loper. J'ai bien aimé le coup de l'hôtelier qui vient se faire payer en se servant du client.
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